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Lebensprobleme und Bewältigungsstrategien - Stellenwert der Psychotherapie

Day-to-day life problems and coping strategies - Importance of psychotherapy

Problèmes existentiels et stratégies de gestion - la place de la psychothérapie

Author(s) / Creator(s)

Felber, Michaela
Margreiter, Ursula
Schwentner, Gernot

Abstract / Description

Im Rahmen der vorliegenden Studie sollte der Versuch unternommen werden, Einsicht in die aktuellen Lebensprobleme und Bewältigungsstrategien der Österreicher zu erhalten. Von besonderem Interesse war dabei der Stellenwert, den die Psychotherapie als professionelles Hilfsangebot einnimmt. Befragt wurden ausschließlich Personen mit niedrigem Schulabschluss, die nicht im psychosozialen Bereich tätig waren. Unter den Lebensproblemen dominierten Arbeitsplatzprobleme und Existenzängste, gefolgt von intrafamiliären Beziehungs- und körperlichen Gesundheitsproblemen. Jeder Problemkreis hat erwartungsgemäß sein spezifisches Lösungsmuster, dennoch zeichnen sich über alle Problemkreise hinweg drei bevorzugt genannte Strategien ab: Selbsthilfe, private Aussprache sowie das Aufsuchen diverser öffentlicher Beratungsstellen. Die grundlegende Einstellung zur Psychotherapie war fast durchwegs ambivalent bis negativ. Bei Zuhilfenahme von Psychotherapie scheint für viele das soziale Image wie auch das Selbstbewusstsein gefährdet, zudem werden häufig zu hohe Kosten beklagt. In den weniger häufigen positiven Statements zur Psychotherapie wird diese als Lebenshilfe, als Hilfe zur Persönlichkeitsentwicklung oder einfach als Aussprachemöglichkeit gesehen. Insgesamt belegt die Studie die Notwendigkeit von Maßnahmen, die den Zugang zur Psychotherapie erleichtern. Weitere Untersuchungen zur Klärung der Frage, warum weite Kreise der Bevölkerung der Psychotherapie noch immer mit großer Reserviertheit begegnen, werden angeregt.Schlüsselwörter: Lebensprobleme, Bewältigung, Psychotherapie, Psychotherapieforschung, Image der Psychotherapie.
This study is intended to gain an insight into the problems Austrians experience in their lives and the strategies developed to overcome them. One of the most intriguing questions was how psychotherapy is assessed as a method for giving professional help. All the persons polled had no higher education and did not work in the psychosocial field. Life-related problems turned out to be, first and foremost, problems at work and existential anxiety, followed by problems concerning relationships within families and physical troubles. As could be expected, each problem area has its own specific solution pattern; however, there seem to be three preferred strategies applied in all areas: self-help, personal talks, and seeking advice at public counselling centers. The underlying attitudes to psychotherapy were almost invariably ambivalent or even negative. Resorting to psychotherapy is perceived by many people as a threat to their social image and self-confidence. What is more, those surveyed frequently complained about costs being too high. Positive comments on psychotherapy were made less often and referred to psychotherapy as something that helps people cope with their lives or develop their personality, or simply as an opportunity to talk. One of the study’s main findings is that measures facilitating access to psychotherapy are needed. Further studies on elucidating the question why there is still so much suspicion about psychotherapy among the population are encouraged.Keywords: Life-related problems, coping, psychotherapy, psychotherapeutic research, image of psychotherapy. 
La présente étude constitue une tentative \ d’évaluer les problèmes existentiels dont souffre actuellement un échantillon de la population autrichienne et d’examiner les stratégies utilisées pour les gérer. Nous nous sommes particulièrement intéressés à la valeur attribuée à la psychothérapie en tant qu’offre professionnelle de soutien. Le groupe étudié est constitué de 87 personnes ayant un bas niveau de scolarité et ne travaillant pas dans le domaine psychosocial.Des difficultés mentionnées par les participants, ce sont les problèmes liés au monde du travail, l’angoisse face à l’insécurité matérielle et des problèmes de relations au sein de la famille qui dominent, suivies de problèmes de santé (niveau somatique). Concernant les deux premiers aspects, l’étude indique clairement que la situation actuelle sur le marché du travail n’est pas seulement problématique aux niveaux économique et politique ; elle a déjà des conséquences sérieuses sur le plan psychosocial : peur du chômage, pressions croissantes et dégradation du climat dans les entreprises provoquent des tensions et peuvent entraîner des symptômes tels la fatigue, l’épuisement et des troubles psychosomatiques. L’individu risque de «perdre le contrôle», dans le sens où il a de moins en moins le sentiment de pouvoir influer sur ce qui se passe - et ceci peut provoquer une sensation d’impuissance ou des réactions inadéquates. Quant aux problèmes familiaux, ils s’accompagnent toujours d’un sentiment d’impuissance, de résignation et de blocage et comportent une forte composante affective.Chacun des types de problèmes examinés tend à être résolu de manière spécifique; il reste qu’on peut cerner trois stratégies qui sont mentionnées le plus fréquemment par rapport aux différents types : la personne concernée tente de s’aider elle-même, elle parle de son problème avec des connaissances ou elle s’adresse à un service public de consultation. Ce n’est qu’en bas de liste que sont mentionnés d’autres moyens de trouver un soutien, entre autres : psychologue/psychiatre/psychothérapeute, hôpital/foyer, politiciens, médecin de famille. Lorsque les problèmes sont en rapport avec le monde du travail ou l’insécurité matérielle la majorité des personnes interrogées cherche à s’aider elle-même. Certaines d’entre elles pensent que seule une modification des conditions sociétales, dans le cadre des lois ou de la politique sociale, pourrait apporter un changement positif. Par contre, pour gérer des problèmes de relation au sein de la famille on compte beaucoup moins sur ses propres ressources et s’adresse souvent à des connaissances. C’est aussi dans ce domaine que les personnes concernées sont le plus disposées à rechercher un soutien professionnel. Dans l’échantillon inclus dans l’étude, personne n’a fait l’expérience personnelle d’un traitement psychothérapeutique. Mais le tiers environ des répondants connaît quelqu’un (connaissance ou parent) qui a fait une psychothérapie. Les expériences vécues par d’autres ne suffisent pas à faire évoluer l’attitude que ces personnes ont envers la psychothérapie - du moins lorsque celle-ci est clairement définie. Toutes sont en fait fondamentalement ambivalentes à son égard ou vont jusqu’à la considérer comme négative. De plus, lorsqu’on analyse les réponses, on constate que celles qui expriment un point de vue positif ne le font pas avec beaucoup de conviction : on pense d’une part que la psychothérapie peut apporter un «soutien dans la vie», qu’elle peut offrir des expériences et un certain savoir-faire ou «des conseils». On perçoit les thérapeutes comme des professionnels compétents qui, le cas échéant, vont apporter un soutien au niveau social ou familial. De nombreuses personnes indiquent que le secret professionnel et la « neutralité» du psychothérapeute constituent des aspects positifs. D’autre part, certaines réponses mentionnent que la psychothérapie peut fournir un soutien au niveau du « développement de la personnalité ». Le thérapeute est compétent, on peut lui parler de soi et de ses problèmes et ceci peut apporter une amélioration de la « qualité de vie ». Parmi les réponses exprimant un point de vue négatif, l’argument le plus fréquent est celui selon lequel la psychothérapie n’est utile que lorsque quelqu’un souffre de «troubles psychiques », de «maladie mentale» ou de «gros problèmes ». On ne peut s’empêcher de penser que les répondants font parfois de la psychothérapie une démarche très spéciale pour s’en démarquer aussi nettement que possible. Ils construisent une sorte de barrière : « bien sûr j’ai des problèmes plus ou moins importants, mais tant qu’ils ne sont pas potentiellement ‘mortels’ consulter un psychothérapeute ne se justifie pas ». La prophylaxie ou la prévention d’évolutions possibles ne semblent pas appréciées. De plus, accepter un soutien psychothérapeutique paraît s’accompagner pour de nombreuses personnes d’une perte de prestige social ou de confiance en soi. Un obstacle supplémentaire sur la voie conduisant au cabinet du thérapeute est constitué de gêne - on n’ose pas confier à un «parfait étranger» ses «secrets» personnels et intimes. «Le divan » est encore souvent mentionné en tant qu’association; il symbolise sans doute le traitement de longue durée que seuls les membres des classes supérieures peuvent s’offrir. Dans ce sens, les thérapeutes comme leurs clients sont perçus comme appartenant à un milieu social plus élevé que celui des répondants. Nombreux sont d’ailleurs ceux qui considèrent que les traitements psychothérapeutiques sont trop chers. Dans l’ensemble, l’étude confirme qu’il est indispensable de mettre en œuvre des mesures qui faciliteraient l’accès aux traitements. Il serait également souhaitable que d’autres études soient menées qui permettraient de mieux définir les raisons qui font que de larges couches de la population ont une attitude très réservée par rapport à la psychothérapie.

Persistent Identifier

Date of first publication

2000-10-01

Journal title

Psychotherapie-Wissenschaft

Issue

4

Page numbers

175-181

Publisher

Psychosozial-Verlag

Publication status

publishedVersion

Review status

unknown

Is version of

Citation

Felber, M., Margreiter, U., & Schwentner, G. (2000). Lebensprobleme und Bewältigungsstrategien - Stellenwert der Psychotherapie. Psychosozial-Verlag. https://doi.org/10.23668/PSYCHARCHIVES.4088
  • Author(s) / Creator(s)
    Felber, Michaela
  • Author(s) / Creator(s)
    Margreiter, Ursula
  • Author(s) / Creator(s)
    Schwentner, Gernot
  • PsychArchives acquisition timestamp
    2020-09-29T07:35:59Z
  • Made available on
    2020-09-29T07:35:59Z
  • Date of first publication
    2000-10-01
  • Abstract / Description
    Im Rahmen der vorliegenden Studie sollte der Versuch unternommen werden, Einsicht in die aktuellen Lebensprobleme und Bewältigungsstrategien der Österreicher zu erhalten. Von besonderem Interesse war dabei der Stellenwert, den die Psychotherapie als professionelles Hilfsangebot einnimmt. Befragt wurden ausschließlich Personen mit niedrigem Schulabschluss, die nicht im psychosozialen Bereich tätig waren. Unter den Lebensproblemen dominierten Arbeitsplatzprobleme und Existenzängste, gefolgt von intrafamiliären Beziehungs- und körperlichen Gesundheitsproblemen. Jeder Problemkreis hat erwartungsgemäß sein spezifisches Lösungsmuster, dennoch zeichnen sich über alle Problemkreise hinweg drei bevorzugt genannte Strategien ab: Selbsthilfe, private Aussprache sowie das Aufsuchen diverser öffentlicher Beratungsstellen. Die grundlegende Einstellung zur Psychotherapie war fast durchwegs ambivalent bis negativ. Bei Zuhilfenahme von Psychotherapie scheint für viele das soziale Image wie auch das Selbstbewusstsein gefährdet, zudem werden häufig zu hohe Kosten beklagt. In den weniger häufigen positiven Statements zur Psychotherapie wird diese als Lebenshilfe, als Hilfe zur Persönlichkeitsentwicklung oder einfach als Aussprachemöglichkeit gesehen. Insgesamt belegt die Studie die Notwendigkeit von Maßnahmen, die den Zugang zur Psychotherapie erleichtern. Weitere Untersuchungen zur Klärung der Frage, warum weite Kreise der Bevölkerung der Psychotherapie noch immer mit großer Reserviertheit begegnen, werden angeregt.Schlüsselwörter: Lebensprobleme, Bewältigung, Psychotherapie, Psychotherapieforschung, Image der Psychotherapie.
    de_DE
  • Abstract / Description
    This study is intended to gain an insight into the problems Austrians experience in their lives and the strategies developed to overcome them. One of the most intriguing questions was how psychotherapy is assessed as a method for giving professional help. All the persons polled had no higher education and did not work in the psychosocial field. Life-related problems turned out to be, first and foremost, problems at work and existential anxiety, followed by problems concerning relationships within families and physical troubles. As could be expected, each problem area has its own specific solution pattern; however, there seem to be three preferred strategies applied in all areas: self-help, personal talks, and seeking advice at public counselling centers. The underlying attitudes to psychotherapy were almost invariably ambivalent or even negative. Resorting to psychotherapy is perceived by many people as a threat to their social image and self-confidence. What is more, those surveyed frequently complained about costs being too high. Positive comments on psychotherapy were made less often and referred to psychotherapy as something that helps people cope with their lives or develop their personality, or simply as an opportunity to talk. One of the study’s main findings is that measures facilitating access to psychotherapy are needed. Further studies on elucidating the question why there is still so much suspicion about psychotherapy among the population are encouraged.Keywords: Life-related problems, coping, psychotherapy, psychotherapeutic research, image of psychotherapy. 
    en_US
  • Abstract / Description
    La présente étude constitue une tentative \ d’évaluer les problèmes existentiels dont souffre actuellement un échantillon de la population autrichienne et d’examiner les stratégies utilisées pour les gérer. Nous nous sommes particulièrement intéressés à la valeur attribuée à la psychothérapie en tant qu’offre professionnelle de soutien. Le groupe étudié est constitué de 87 personnes ayant un bas niveau de scolarité et ne travaillant pas dans le domaine psychosocial.Des difficultés mentionnées par les participants, ce sont les problèmes liés au monde du travail, l’angoisse face à l’insécurité matérielle et des problèmes de relations au sein de la famille qui dominent, suivies de problèmes de santé (niveau somatique). Concernant les deux premiers aspects, l’étude indique clairement que la situation actuelle sur le marché du travail n’est pas seulement problématique aux niveaux économique et politique ; elle a déjà des conséquences sérieuses sur le plan psychosocial : peur du chômage, pressions croissantes et dégradation du climat dans les entreprises provoquent des tensions et peuvent entraîner des symptômes tels la fatigue, l’épuisement et des troubles psychosomatiques. L’individu risque de «perdre le contrôle», dans le sens où il a de moins en moins le sentiment de pouvoir influer sur ce qui se passe - et ceci peut provoquer une sensation d’impuissance ou des réactions inadéquates. Quant aux problèmes familiaux, ils s’accompagnent toujours d’un sentiment d’impuissance, de résignation et de blocage et comportent une forte composante affective.Chacun des types de problèmes examinés tend à être résolu de manière spécifique; il reste qu’on peut cerner trois stratégies qui sont mentionnées le plus fréquemment par rapport aux différents types : la personne concernée tente de s’aider elle-même, elle parle de son problème avec des connaissances ou elle s’adresse à un service public de consultation. Ce n’est qu’en bas de liste que sont mentionnés d’autres moyens de trouver un soutien, entre autres : psychologue/psychiatre/psychothérapeute, hôpital/foyer, politiciens, médecin de famille. Lorsque les problèmes sont en rapport avec le monde du travail ou l’insécurité matérielle la majorité des personnes interrogées cherche à s’aider elle-même. Certaines d’entre elles pensent que seule une modification des conditions sociétales, dans le cadre des lois ou de la politique sociale, pourrait apporter un changement positif. Par contre, pour gérer des problèmes de relation au sein de la famille on compte beaucoup moins sur ses propres ressources et s’adresse souvent à des connaissances. C’est aussi dans ce domaine que les personnes concernées sont le plus disposées à rechercher un soutien professionnel. Dans l’échantillon inclus dans l’étude, personne n’a fait l’expérience personnelle d’un traitement psychothérapeutique. Mais le tiers environ des répondants connaît quelqu’un (connaissance ou parent) qui a fait une psychothérapie. Les expériences vécues par d’autres ne suffisent pas à faire évoluer l’attitude que ces personnes ont envers la psychothérapie - du moins lorsque celle-ci est clairement définie. Toutes sont en fait fondamentalement ambivalentes à son égard ou vont jusqu’à la considérer comme négative. De plus, lorsqu’on analyse les réponses, on constate que celles qui expriment un point de vue positif ne le font pas avec beaucoup de conviction : on pense d’une part que la psychothérapie peut apporter un «soutien dans la vie», qu’elle peut offrir des expériences et un certain savoir-faire ou «des conseils». On perçoit les thérapeutes comme des professionnels compétents qui, le cas échéant, vont apporter un soutien au niveau social ou familial. De nombreuses personnes indiquent que le secret professionnel et la « neutralité» du psychothérapeute constituent des aspects positifs. D’autre part, certaines réponses mentionnent que la psychothérapie peut fournir un soutien au niveau du « développement de la personnalité ». Le thérapeute est compétent, on peut lui parler de soi et de ses problèmes et ceci peut apporter une amélioration de la « qualité de vie ». Parmi les réponses exprimant un point de vue négatif, l’argument le plus fréquent est celui selon lequel la psychothérapie n’est utile que lorsque quelqu’un souffre de «troubles psychiques », de «maladie mentale» ou de «gros problèmes ». On ne peut s’empêcher de penser que les répondants font parfois de la psychothérapie une démarche très spéciale pour s’en démarquer aussi nettement que possible. Ils construisent une sorte de barrière : « bien sûr j’ai des problèmes plus ou moins importants, mais tant qu’ils ne sont pas potentiellement ‘mortels’ consulter un psychothérapeute ne se justifie pas ». La prophylaxie ou la prévention d’évolutions possibles ne semblent pas appréciées. De plus, accepter un soutien psychothérapeutique paraît s’accompagner pour de nombreuses personnes d’une perte de prestige social ou de confiance en soi. Un obstacle supplémentaire sur la voie conduisant au cabinet du thérapeute est constitué de gêne - on n’ose pas confier à un «parfait étranger» ses «secrets» personnels et intimes. «Le divan » est encore souvent mentionné en tant qu’association; il symbolise sans doute le traitement de longue durée que seuls les membres des classes supérieures peuvent s’offrir. Dans ce sens, les thérapeutes comme leurs clients sont perçus comme appartenant à un milieu social plus élevé que celui des répondants. Nombreux sont d’ailleurs ceux qui considèrent que les traitements psychothérapeutiques sont trop chers. Dans l’ensemble, l’étude confirme qu’il est indispensable de mettre en œuvre des mesures qui faciliteraient l’accès aux traitements. Il serait également souhaitable que d’autres études soient menées qui permettraient de mieux définir les raisons qui font que de larges couches de la population ont une attitude très réservée par rapport à la psychothérapie.
    fr_FR
  • Publication status
    publishedVersion
  • Review status
    unknown
  • Citation
    Felber, M., Margreiter, U., & Schwentner, G. (2000). Lebensprobleme und Bewältigungsstrategien - Stellenwert der Psychotherapie. Psychosozial-Verlag. https://doi.org/10.23668/PSYCHARCHIVES.4088
    en
  • ISSN
    1664-9591
  • ISSN
    1664-9583
  • Persistent Identifier
    https://hdl.handle.net/20.500.12034/3702
  • Persistent Identifier
    https://doi.org/10.23668/psycharchives.4088
  • Language of content
    deu
  • Publisher
    Psychosozial-Verlag
  • Is version of
    https://www.psychotherapie-wissenschaft.info/index.php/psywis/article/view/513
  • Dewey Decimal Classification number(s)
    150
  • Title
    Lebensprobleme und Bewältigungsstrategien - Stellenwert der Psychotherapie
    de_DE
  • Alternative title
    Day-to-day life problems and coping strategies - Importance of psychotherapy
    en_US
  • Alternative title
    Problèmes existentiels et stratégies de gestion - la place de la psychothérapie
    fr_FR
  • DRO type
    article
  • Issue
    4
  • Journal title
    Psychotherapie-Wissenschaft
  • Page numbers
    175-181
  • Visible tag(s)
    Version of Record